Le 13 novembre 2020
Notre compréhension du texte nous porte à croire qu’il ne pourrait y avoir aucun lieu de rendez-vous commun pour plusieurs groupes de 4 personnes et que toute rencontre entre les différents groupes est interdite au cours de la journée.
Concrètement cela signifie que chaque groupe de traqueurs et/ou de chasseurs peut chasser sur des portions de territoire pour autant qu’ils ne se rencontrent pas.
Ces dispositions sont valables pour la chasse de tout gibier jusqu’à nouvel ordre.
Nous espérons pouvoir disposer au plus vite d’un protocole précis et validé par le Fédéral mais, en attendant, nous prenons acte des instructions du Ministre Borsus. Elles appellent au sens du discernement, de la responsabilité collective et de chacun dans la lutte contre le COVID 19.
Soyons conscients de la confiance que le Ministre Borsus nous accorde. A défaut de respecter strictement ces dispositions, les chasseurs porteraient la responsabilité de l’impossibilité de conclure un protocole dans les jours ou semaines qui suivent.
Vous avez pu remarquer combien les promeneurs étaient nombreux dans la nature, en forêt, en plaine, dans les propriétés privées : bref, partout et parfois sans respect des règles en vigueur. Evitons néanmoins de prêter le flanc à la critique, privilégions le dialogue avec ces utilisateurs qui, de leur côté, ignorent sans doute nos législations et, d’autre part, vivent le confinement en étant privés de leurs compétitions sportives ou autres activités.
Nous faisons donc appel au sens de la responsabilité de chacun avec le souci de notre santé et de celle de tous les citoyens.
Vous trouverez le texte complet de l'arrêté ministériel du 28 octobre (ICI) et du 1er novembre (ICI) portant des mesures d’urgence pour limiter la propagation du coronavirus COVID-19.
Perdrix grise : l’urgence d’un arrêté ministériel - ICI
Pigeon ramier, une ouverture repoussée - ICI
Brocard, le pirsch avancé au 15 avril - ICI
La Chambre des Représentants a adopté ce 18 juillet à 2h10 un texte de loi autorisant la détention de modérateurs de son et de lunettes thermiques par les titulaires d’un permis de chasse.
En matière de santé auditive, tant pour les chasseurs que pour leurs accompagnants, c’est un précieux pas en avant. C’est également une bonne nouvelle pour la faune et les citoyens car les nuisances sonores et les dérangements pourront être significativement réduits. De nombreux pays européens nous ont précédés dans cette voie et se montrent très satisfaits après plus de dix années d’expérience.