Royal Saint Hubert Club de Bel - Newsletter AFSCA - Tuberculose

Les journées de la chasse

Newsletter AFSCA - Tuberculose

Le 15 janvier 2021

Nous souhaitons attirer votre attention sur le fait que de nouvelles informations ou des mises à jour concernant le gibier ont été publiées sur le site internet de l’AFSCA. Elles concernent plus spécifiquement :

Après l’absence de cas en 2019, la tuberculose bovine a à nouveau été constatée fin 2020 et début 2021 dans 2 exploitations dans notre pays. D’autres foyers sont possibles suite à l’enquête épidémiologique et aux examens réalisés dans les exploitations de contact.

Les deux exploitations actuellement confirmées se situent dans les provinces de Limbourg et de Liège. Les 2 foyers se trouvent dans des zones boisées avec présence de gibiers, cependant le risque n’est pas seulement lié aux zones forestières.

Comme vous le savez, la tuberculose bovine peut également se développer chez certaines espèces d’animaux sauvages (sangliers, cerfs et blaireaux).

En tant que sentinelles au niveau des zones de contact animaux sauvages - animaux domestiques, les Personnes Formées (PF) ont un rôle important à jouer dans la détection précoce de la tuberculose bovine de la faune sauvage.

Nous profitons dès lors de cette situation pour attirer votre attention sur la nécessaire vigilance accrue qui est demandée aux PF lors de l’examen initial des carcasses de cervidés/suidés sauvages abattus sur les territoires de chasse, en particulier dans et à proximité de ces provinces, vis-à-vis de toute lésion évocatrice de tuberculose. Vous pouvez retrouver plus d’informations, ainsi que des photos dans la Circulaire relative aux obligations réglementaires des personnes formées en matière d’examen initial du gibier chassé – Appel à la vigilance vis-à-vis des lésions évocatrices de peste porcine africaine ou de tuberculose chez le gibier sauvage (PCCB/S3/1219397).

L’application stricte de cette circulaire est nécessaire afin d’éviter que la maladie ne s’installe durablement dans la faune sauvage et que la maladie ne se transmette aux animaux d’élevage.

Vous trouverez également l’information générale sur la tuberculose bovine et l’évolution de la situation en Belgique via le lien suivant : http://www.favv-afsca.fgov.be/santeanimale/tuberculose/

Nous espérons pouvoir compter sur votre aimable collaboration et vous en remercions d’avance.

Jean-François Heymans

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Perdrix grise : pas de chasse en 2025, un report regretté, une préparation active pour un cadre stable dès 2026

Du 20 septembre au 15 novembre 2025, la chasse de la perdrix grise ne sera pas autorisée en Wallonie. En cause : des délais trop courts pour permettre la validation de plans de gestion juridiquement sécurisés et cohérents.
Malgré les efforts conjoints de la Ministre en charge de la Chasse, Anne-Catherine Dalcq et des associations représentant les chasseurs, les délais disponibles pour établir des plans de gestion juridiquement sûrs et cohérents se sont révélés trop courts.
La Ministre et les groupes de travail mobilisés ont donc, avec regret, dû constater que la chasse à la perdrix ne serait pas possible cette année.
Pour les autres années, la volonté de la Ministre reste inchangée : permettre la chasse de la perdrix dans les territoires membres d’un conseil cynégétique disposant d’un plan de gestion approuvé. C’est dans cet esprit qu’une ouverture conditionnelle a été intégrée au plan quinquennal validé par le Gouvernement wallon.

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Le nouvel arrêté quinquennal d'ouverture : Quelques explications sur la Perdrix, le Ramier et le Brocard

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Détention de modérateurs de son et de lunettes thermiques

La Chambre des Représentants a adopté ce 18 juillet à 2h10 un texte de loi autorisant la détention de modérateurs de son et de lunettes thermiques par les titulaires d’un permis de chasse.

En matière de santé auditive, tant pour les chasseurs que pour leurs accompagnants, c’est un précieux pas en avant. C’est également une bonne nouvelle pour la faune et les citoyens car les nuisances sonores et les dérangements pourront être significativement réduits. De nombreux pays européens nous ont précédés dans cette voie et se montrent très satisfaits après plus de dix années d’expérience.

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